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4 idées de startup rapides que tu peux reprendre et lancer avant demain !
Tout le monde joue avec ChatGPT... toi, tu devrais construire avec
Faut arrêter de fantasmer sur l’IA et commencer à l’utiliser dans un vrai cadre.
La nouvelle API de génération d’images de ChatGPT rend ça plus clair que jamais.
La plupart des gens sont passés à côté.
Trop occupés à faire des vidéos de spaghetti ou des générateurs de memes.
Ils exploitent à peine ce que l’IA peut vraiment faire.
Ils attendent que quelqu’un leur montre ce qui est possible.
Si tu lis ça, tu peux être cette personne.
Utilise l’un des générateurs d’image les plus puissants jamais créés et construis un vrai produit autour.
Tu peux lancer quelque chose dès demain et faire un produit pour lequel les gens paient vraiment.
C’est quoi l’API de génération d’images de ChatGPT ?
Quand tu entends “ChatGPT peut maintenant créer des images”, on parle du modèle “gpt-image-1” (anciennement DALL·E 3).
Tu tapes une description, et tu obtiens une image stylée, précise, avec même du texte bien intégré.
OpenAI a ouvert ce modèle via une API, ce qui veut dire :
Tu peux générer des images directement dans ton propre produit, sans renvoyer les gens sur ChatGPT.
Des boîtes comme Adobe, Airtable ou OpusClip l’utilisent déjà dans leurs propres plateformes.
Tu crées un compte sur platform.openai.com et récupères une clé API.
Tu construis une interface simple : une app web, un tableau de bord ou juste un formulaire où l’utilisateur tape son prompt.
Tu connectes ça à l’API avec quelques lignes de code qui envoient le prompt à OpenAI.
Tu reçois une image propre que tu peux afficher, télécharger ou même vendre.
Pas besoin d’entraîner un modèle ou de coder une IA.
Tu te branches sur le moteur d’OpenAI et tu crées quelque chose autour, avec ton style et ton public.
Et le mieux dans tout ça ?
T’as pas besoin d’un produit SaaS complet.
Tu peux faire un prototype avec Bubble, Webflow ou même Notion.
Voici 4 idées de startup, comment les construire et comment les lancer :
1. Générateur visuel pour les emails e-commerce
Chaque email envoyé par une marque a besoin de visuels promo et de mockups produits.
Mais peu de marques ont un bon designer en interne.
Le problème :
Les marques envoient 3 à 5 emails par semaine.
Chacun demande des visuels frais et cohérents.
Payer un designer pour chaque email ? Ça peut monter à 1 500–5 000 € par mois.
Les petites marques surdépensent… ou utilisent des templates moches.
Les chiffres montrent que les emails avec des visuels custom convertissent mieux.
Le produit :
Un générateur visuel boosté à l’IA où les marques peuvent :
Entrer les infos produit et le type de promo ("Soldes d'été sur notre linge de lit bio")
Uploader leurs visuels et charte graphique
Choisir leur cible et le ton du message
Générer en quelques secondes :
Des bannières avec texte et visuel
Des mises en avant produit
Des boutons d’appel à l’action
Le marché :
Douleur : l’email reste le canal le plus rentable (36 € pour chaque 1 € investi), mais le design limite les résultats.
Taille : +5 millions de marchands Shopify, sans compter WooCommerce et BigCommerce.
Manque : Canva est manuel, Mailchimp a des templates basiques, aucun outil ne fait du visuel brandé automatiquement.
Business model :
49 €/mois (500 images)
149 €/mois (2 000 images)
499 €/mois (illimité + accès API)
Comment le construire :
Front : Formulaire via Bubble/Webflow où tu entres le type de campagne, logo, couleurs, images produit, style.
Back : Tu connectes l’API image GPT avec des prompts préremplis.
Export : Permets de télécharger en PNG/JPG ou d’exporter direct vers Mailchimp, Klaviyo, Beehiiv.
Plus de visuels = plus de clics = plus de ventes.
2. Générateur d’assets de jeu vidéo pour développeurs fauchés
Le jeu vidéo pèsera 226 milliards € d’ici 2028.
Les indés prennent une grosse part des nouvelles sorties.
Mais il y a un énorme écart visuel entre les jeux AAA et les jeux indé.
Un seul artiste perso coûte +65 000 €/an.
Le problème :
Les devs indé n’ont pas le budget pour des artistes pro.
Et les joueurs jugent un jeu dès le premier écran.
Faire un design cohérent, pro, c’est hors de portée pour beaucoup.
Ils ont besoin d’un moyen simple de créer des personnages, décors, interfaces cohérents.
Le produit :
Un générateur spécialisé où un dev peut :
Définir un style graphique (ex. pixel art, cartoon, low-poly…)
Générer un pack d’assets visuellement cohérents :
Personnages animés
Décors
Textures prêtes à être intégrées dans Unity, Godot ou Unreal
Le marché :
Douleur : créer des assets visuels prend du temps, de l’argent et des compétences.
Taille : +2 millions de devs sur Unity, croissance rapide chez les indés.
Manque : les générateurs IA existants ne sont pas pensés pour les assets de jeu.
Business model :
39 €/mois (200 assets)
99 €/mois (illimité)
4,99 € par pack d’assets
Comment le construire :
Front : dashboard où on choisit le style, le type d’asset, on upload des références.
Back : prompts optimisés pour chaque type d’asset, fond transparent obligatoire, bon format (PNG, sprite sheet, calques…).
Pense à ça comme un Midjourney pour jeux vidéo.
Toi tu livres des assets prêts à l’emploi, pas juste de l’art à regarder.
3. Générateur d’onboarding automatique pour SaaS
Dans un SaaS, l’activation des utilisateurs est un indicateur critique.
Et pourtant, la majorité des startups bâclent l’onboarding.
Le problème :
L’activation, c’est le moment où un utilisateur va vraiment utiliser les fonctions du produit, pas juste créer un compte.
Mais créer un bon parcours d’accueil prend des semaines… pour un résultat souvent nul.
Les petites équipes n’ont pas de designer UX.
Même les startups financées galèrent à faire simple.
Un mauvais onboarding = peu d’activation = perte rapide d’utilisateurs.
Le produit :
Un constructeur d’onboarding automatisé qui crée des écrans de bienvenue, des tutoriels, des bulles explicatives et des points de feedback à partir d’un court résumé produit.
Tu expliques ton SaaS (ex. "une appli de prise de notes IA pour les équipes à distance").
Le système génère :
Un écran de bienvenue clair
Un tutoriel étape par étape
Des moments de feedback intégrés
Le marché :
Douleur : mauvais onboarding = mauvaise rétention.
Taille : +30 000 SaaS dans le monde, +450 nouveaux chaque année.
Manque : Appcues, UserGuiding font l’intégration, mais pas la création automatique.
Business model :
49 €/mois (1 projet)
149 €/mois (3 projets)
499 €/mois (illimité + rendu prioritaire)
Comment le construire :
Front : formulaire simple — Que fait ton produit ? Quelles sont les 3–5 actions clés ?
Back : GPT-4o pour rédiger le texte, API image GPT pour les visuels.
Export : formats prêts pour Webflow, Framer, Figma.
C’est l’activation en mode service.
Tout le monde veut mieux… personne ne veut le concevoir.
4. Générateur de coûts de lancement ("combien ça coûte ?")
L’incertitude financière empêche des millions de lancer un business.
62 % des gens veulent créer une boîte.
Seulement 16,5 % passent à l’action.
Le flou sur les coûts est la 2ᵉ raison la plus citée (après la peur d’échouer).
Le problème :
Les gens cherchent : "Combien pour lancer une marque de cosmétiques ?" ou "Quel budget pour un food truck ?"
Et ils tombent sur des réponses floues, contradictoires ou sponsorisées.
Pas d’infos fiables = paralysie totale.
Le produit :
Un moteur de calcul visuel qui donne une estimation réaliste des coûts de départ pour n’importe quel projet :
Tu entres ton idée (ex. "marque de soins bio pour les 25–35 ans").
Le système génère :
Coûts détaillés, un par un
Frais uniques vs récurrents
Comparaisons avec d’autres business similaires
Le marché :
Douleur : l’incertitude empêche les gens d’agir.
Taille : +500 millions de personnes lancent ou gèrent une activité dans le monde.
Manque : les infos sont dispersées, dépassées ou floues.
Business model :
Freemium : estimation simple gratuite
19 €/mois : rapports détaillés + liens vers fournisseurs
Revenus affiliés : vers banques, outils de paiement, hébergeurs, etc.
Comment le construire :
Front : page simple où tu saisis ton idée et ta ville
Back : GPT-4o pour chercher et synthétiser les coûts, API image GPT pour les graphiques
Commence avec quelques secteurs très demandés, puis élargis.
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